Agnès Firmin Le Bodo l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" - Jeudi 13 juillet 2023

13 juillet 2023

Agnès Firmin Le Bodo, ministre déléguée chargée de l'Organisation territoriale et des Professions de santé, porte-parole d’Horizons, l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat

Propos recueillis par Oriane Mancini et Julien Lecuyer (La Voix du Nord)  

Jeudi 13 juillet 2023

A propos du 14 juillet :

"Il y a une inquiétude légitime. Le 14 juillet, c’est l’occasion de faire Nation. Il faut saluer le travail des forces de l’ordre et le travail des maires pendant ces émeutes."

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A propos du décès d'un septuagénaire à Vieux-Condé :

"On ne respecte plus le policier, l’agent d’accueil à la mairie, la secrétaire médicale. L’autorité parentale, c’est une partie de la réponse. Il faut reprendre les bases de l’éducation."

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A propos de l'accès aux soins :

"L’accès aux soins c’est la préoccupation de nos concitoyens. C’est le quotidien de 6 millions de nos concitoyens qui n’ont pas de médecin traitant. Il faut libérer du temps médical avec des assistants médicaux. Il faut encore en recruter 6000."

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A propos de l'obligation d'installation des médecins :

"Ça ne marche pas. Il suffit de regarder ce qu’il se passe dans les pays étrangers, l’effet serait inverse. On ne pourrait pas réguler."

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A propos des médicobus :

"Il faut développer ce 'dernier kilomètre'. Dans le Gers, il y a un dentobus avec un médecin retraité et deux internes, c'est porté par la Croix-Rouge."

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A propos du texte sur la fin de vie :

"Le projet de loi sera présenté avant le 21 septembre" (...) "Le président de la République a très clairement fixé des lignes rouges : pas les mineurs, et un pronostic vital engagé à moyen terme."

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"Le gouvernement prendra ses responsabilités. Seul un médecin peut dire que le pronostic vital est engagé. Il n’y a aucun doute sur le fait que la clause de conscience spécifique fera partie du texte de loi."

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A propos de Laurent Wauquiez et de son appel à Emmanuel Macron pour une "union sacrée" :

"Le travail se fait texte par texte. Quand on souhaite discuter on ne parle pas d’exigences. La volonté de travailler avec les partis de l’arc républicain est là. La main a été tendue, elle a été refusée."

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