Aurore Bergé l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat - vendredi 7 octobre 2022

7 octobre 2022

Aurore Bergé, présidente du groupe Renaissance à l'Assemblée nationale, l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat

Propos recueillis par Oriane Mancini 

Vendredi 7 octobre 2022

Sur le plan de sobriété : 

"Il y a quand même des obligations pour l’Etat. Les entreprises ont pris des engagements volontaires, mais c’est leur intérêt de les tenir. Les prix ne reflètent pas la réalité."

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Sur le budget : 

"Le 49.3 arrête le cours des débats, mais on peut décider de l’utiliser et dire que l’on veut garder les aménagements proposés par la majorité et par un certain nombre d’oppositions."

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Sur les collectivités : 

"Toutes n’ont pas les mêmes moyens pour faire face. Il faut d’abord cibler le bloc communal, qui est en contact direct avec nos concitoyens et est le plus vulnérable sur la renégociations des contrats."

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Sur le 49.3 :

"Je ne vois pas la difficulté que ça poserait. L’enjeu c’est qu’il y ait un débat, il ne faut pas l’écraser." (...) "On l’a fait cet été sur la question du prix des carburants avec LR et sur les collectivités avec le PS."

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Sur la baisse des droits de succession :

"On sait qu’on n’a pas les moyens budgétaires de le voter dès cette année. Nous réaffirmons que cet engagement de campagne sera tenu dans ce quinquennat."

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Sur les retraites : 

"S’il n’y a pas le travailler plus, si c’est la retraite à 60 ans, on ne peut pas financer les pensions, sauf à augmenter les impôts des Français. Nos retraités le savent."

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"On a reçu un mandat clair des Français sur ce sujet-là. On aurait pu minimiser la question pendant la campagne. Ce n’est jamais la mesure la plus populaire, mais c’est le marqueur du courage et de la volonté de la réforme."

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Sur Jean-Luc Mélenchon : 

"Il n’est pas crédible pour continuer à être un homme politique. Quand on se dit républicain et démocrate, il y a des mots que l’on n’a pas le droit d’employer, sinon on est pas digne de représenter les Français."

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Sur Adrien Quatennens : 

"Il a reconnu des faits constitutifs de violence conjugale, et n’a dès lors pas sa place dans l’hémicycle. Dans le cas de Damien Abad, il y a un homme qui nie les faits qui lui sont reprochés et il y a une information judiciaire."

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Sur les violences sexistes et sexuelles : 

"Pour Julien Bayou, c'est encore un autre dysfonctionnement. On a une exécution politique interne, arbitraire. C’est la limite de ces partis politiques qui ont voulu rendre la justice en interne."

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