Bruno Retailleau l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" - Jeudi 15 février 2023

A propos de la commission d'enquête sur le fonds Marianne :

"C’est difficile pour Marlène Schiappa de dire qu'elle n’y est pour rien, alors qu’elle a mis la main pour écarter un dossier SOS Racisme. Pourquoi n'en aurait-elle pas favorisé un ? Elle n'a pas levé cette contradiction hier."

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A propos de la commission d'enquête sur l'assassinat de Samuel Paty :

"L’objectif c’est d’éclairer les conditions dans lesquels les services de l'Education nationale, les services de sécurité, ont protégé ou non, Samuel Paty."

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A propos de Pap Ndiaye :

"Il a un rapport avec le modèle républicain français beaucoup plus inspiré du modèle anglo-saxon, américain. Il avait écrit qu’être français, cela avait quelque chose à voir avec la race, la couleur."

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A propos du drame d'Annecy :

"On veut nous réduire au silence, mais l’indécence, c’est le silence. Les coups de gueule ça sert à quelque chose. Tous ces faits ne sont pas des faits divers, ils sont reliés les uns avec les autres par le chaos migratoire."

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A propos du projet de loi immigration :

"On n’ajoutera pas une autre pompe aspirante. Il y a une voie de passage si le gouvernement reprend notre texte ordinaire. La PPL constitutionnelle... nous ne sommes pas fous, commençons par ce qui est le plus simple."

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"Ce texte ne passera pas à l’Assemblée sans un 49.3 : ou bien le gouvernement se déporte vers notre position, et perdra des députés dans sa majorité, ou bien il reste droit dans ses bottes et c’est nous qui voterons contre."

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A propos d'une motion de censure sur le budget :

"L’automne pourrait être le moment des accidents puisque le gouvernement devra utiliser une dizaine de 49.3. Le budget va être compliqué, on est dans une situation financière terrible."

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A propos de l'hypothèse d'un remaniement ministériel :

"Le problème, c’est le cap. Emmanuel Macron n’a pas intérêt à changer de Première ministre aujourd’hui, alors qu’il faudra endosser une dizaine de 49.3 à l’automne. Le problème, c’est que ce quinquennat est mal-né, il n’a pas fait campagne."

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A propos des discussions organisées le 21 juin par Séphane Séjourné pour discuter de la ligne à adopter avec Les Républicains :

"L’urgence c’est de refonder, ce sont les idées. C’est le début des états-généraux de la droite, un parcours de 6 mois pour que nos adhérents nous disent ce qu’ils veulent de nous"

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A propos des élections sénatoriales à Paris :

"Il faut absolument apaiser. Je salue le sens de la responsabilité de Catherine Dumas puisque le recours a été retiré. Vous savez, Paris, il y a toujours eu des divisions, j’attends de voir ce que tout ça va donner."

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