Elisabeth Borne l'a dit dans "Audition Publique" sur les chaînes parlementaires
Elisabeth Borne, Ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion, l'a dit dans "Audition Publique" sur les chaînes parlementaires, en présence de Julien Dive, député LR de l'Aisne et Rachid Temal, sénateur PS de du Val-d'Oise, présentée par Francis Letellier
Sur la suppression de 400 postes dans la recherche chez Sanofi :
"Le gouvernement va s'assurer que Sanofi tient les engagements pris à l'égard du président de la République d'investir 600 millions d'euros dans la recherche et développement"
Sur les ouvertures des commerces le dimanche :
"Dans les trois-quarts des départements, des dérogations existent"
Sur la possibilité de revenir une journée par semaine pour les salariés en télétravail :
"On a aussi des problèmes psychologiques"
Sur la campagne de vaccination :
"On peut penser que quand on aura 15 millions de personnes vulnérables vaccinées, l'épidémie n'aura plus les mêmes conséquences"
Sur un passeport vaccinal dans le monde de l'entreprise :
"Ce n'est pas du tout envisagé aujourd'hui"
Sur le chômage partiel :
"550 000 contrôles ont été réalisés jusqu'à présent"
Sur l'activité partielle longue durée en entreprise :
"L'Etat doit accompagner aussi longtemps que nécessaire les secteurs qui ont encore aujourd'hui des contraintes du fait de la situation sanitaire"
Sur l'assurance chômage :
"Il ne s'agit pas de mettre en œuvre la réforme qui avait été imaginée en 2019"
Sur le RSA pour les jeunes :
"Une allocation sans accompagnement, comme le RSA est devenu, ce n'est pas notre projet pour la jeunesse" (...) "Ce que nous faisons, c'est mieux"
Sur les élections régionales :
"Compte tenu de mes responsabilités au gouvernement, je ne pourrai pas être tête de liste"
Sur les quotas hommes-femmes dans les entreprises :
"Il faut absolument aller vers les objectifs d'équilibres femmes-hommes"
Sur Bridgestone :
"Tout l'argent qu'on demande à Bridgestone aujourd'hui, ça ne m'intéresse pas qu'il revienne dans les caisses de l'Etat. Ce qui m'intéresse, c'est qu'ils mettent le maximum pour accompagner les salariés"
Sur la proposition de loi pour "un minimum jeunesse" :
"Je ne peux pas laisser dire que les jeunes de 18 à 25 ans seraient dans un trou noir"
Sur l'affaire Mila :
"Elle peut compter sur l'action de mon ministère pour l'aider à trouver un emploi"
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