Éric Coquerel l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" - vendredi 10 mars 2023

A propos des retraites :

"On a une réforme globale qui va forcer les gens à travailler deux ans de plus. Et on nous explique qu'il faudrait que tout ça passe rapidement parce que le gouvernement en a décidé ainsi parce qu'il n'est pas sûr d'avoir une majorité"

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"Quoi qu'il se passe, la commission mixte paritaire n'est pas une fin en soi de toutes façons. Si le texte est voté, ça ne reflètera pas ce que pense la majorité dans le pays"

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"Sur le fond, la Nupes a pris la même décision, toute ensemble, de ne pas aller jusqu'à la fin de ce projet de loi en première lecture à l'Assemblée nationale. Ce type d'accord montre qu'on est sur la même position"

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"Plus ça dure au Sénat, mieux c'est. Plus ça traîne, plus le mouvement peu se développer et plus cela montre que les initiateurs de cette loi n'ont aucune certitude parce qu'ils n'ont pas de majorité"

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"On n'est pas élus pour accepter des pratiques antidémocratiques"

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"C'est à Emmanuel Macron de faire en sorte qu'on sorte de la situation dans laquelle nous sommes et dans laquelle il a mis le pays, dans un contexte de crise sociale et économique qui n'avait pas besoin de ça"

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"Tout indique qu'il y a une très large majorité de Français qui ne veut pas de ce projet de loi. La démocratie, c'est aussi d'entendre ce qui monte de la population. On ne peut pas gouverner contre le peuple"

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"Je ne condamnerai pas les coupures d'électricité ciblant certains sénateurs. C'étaient des coupures symboliques qui n'étaient en rien des problème de santé"

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"Quand je vois le bruit qu'on peut faire sur tel député LFI et qu'un ministre se permet des bras d'honneur à l'Assemblée, j'espère que les mesures prises seront à la hauteur du geste qui a été fait"

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A propos du blocus challenge :

"Le côté 'concours' était un peu le 'paquet cadeau' par rapport à un message politique, qui était de soutenir les lycéens et les étudiants qui pourraient entrer dans le mouvement"

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A propos du projet de loi visant à inscrire la liberté des femmes à recourir à l'IVG : 

"Si Emmanuel Macron veut faire en sorte que l'IVG devienne un droit constitutionnel, il doit faire une loi ad hoc"

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A propos de la peine d'inéligibilité pour les auteurs de violences conjugales ou intrafamiliales :

"Nous sommes pour la liberté du juge. Mais je crois à la sincérité d'Aurore Bergé, ce qui n'empêche pas les visées politiciennes"

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