Fabien Roussel l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat - Mardi 31 janvier 2023

Sur la réforme des retraites :

"Je considère que Emmanuel Macron et son gouvernement sont irresponsables. Ils sous-estiment la détermination des Français qui rejettent de plus en plus cette réforme" (...) Ils prennent le risque de fracturer durement notre pays"

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Sur la grève du 31 janvier :

"On a des signes qui nous disent qu'il y aura plus de monde dans la rue, le nombre de bus affrétés notamment. La mobilisation dans les sous-préfectures et les villes moyennes m'interpelle"

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"La puissance du mouvement que nous allons faire grandir dans le pays déterminera la réaction du gouvernement. Nous pouvons faire reculer Emmanuel Macron. Il faut se dire que la victoire est à portée de main"

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Sur les femmes concernées par la réforme des retraites :

"Comment peuvent-ils dire que cette réforme est faite pour les femmes ?" Comment Elisabeth Borne peut-elle dire que maintenir la décote à 67 ans est un cadeau pour des caissières, des agents d'entretien, des aides à domicile, des AESH…"

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Sur l'examen du texte à l'Assemblée nationale :

"La gauche parlementaire fera tout pour que le débat arrive jusqu'à l'article 7, qui propose le report de l'âge de départ, car nous voulons mettre chaque député face à ses responsabilités, pour que les Français puissent les interpeller ensuite"

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Sur la motion référendaire du PCF sur les retraites :

"Je souhaite m'adresser aux parlementaires de droite et de la majorité où nous savons qu'il y a débat sur la réforme" (...) "Je laisse les députés du RN faire leur choix, ce n'est pas ma préoccupation"

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La réforme des retraite adoptée sans difficulté au Sénat ?

"Je rappelle qu'il y a des sénatoriales en septembre" (...) "Je m'adresse aux grands électeurs qui élisent les sénateurs, ils retrouveront leurs petits… ou pas"

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Sur "plusieurs centaines" de mairies symboliquement fermées ce mardi :

"Que l'on ne vienne pas me dire que c'est une atteinte à la continuité des services publics. Bien souvent, les agents qui ne font pas grève continuent de travailler."

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Sur la CGT qui menace de coupures d'électricité les permanences d'élus :

"Peut-être que s'ils sont coupés une heure ou deux, ils vivront 'vis ma vie', c'est-à-dire ce que vivent 12 millions de Français en précarité énergétique"

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