François Patriat l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" - jeudi 20 avril 2023

20 avril 2023

François Patriat, président du groupe RDPI-Renaissance au Sénat, sénateur de la Côte-d’Or, l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat

Propos recueillis par Alexandre Poussart et Fabrice Veysseyre-Redon (EBRA) 

Jeudi 20 avril 2023

A propos de la réforme des retraites :

"Depuis le début de la réforme des retraites je vois deux France, une France qui travaille tous les jours, qui sans doute n’est pas pour la réforme mais qui fait avancer le pays. Et d’autres, qui toutes les semaines manifestent sans alternative au retrait du texte"

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A propos d'Emmanuel Macron qui serait prêt à réformer par décrets :

"J’y vois des avantages, ceux de l’efficacité. Les décrets ne sont pas pris ex-nihilo mais après une concertation, on l’a vu pour la loi travail"

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A propos du départ de Laurent Berger à la CFDT :

"Il a beaucoup parlé de mépris ces derniers jours. On ne peut pas dire cela, c’est faux, le président ne méprise pas les Français" (...) "Emmanuel Macron a raison d’aller au contact, de montrer qu’il peut sortir"

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A propos de la féminisation du Sénat :

"Les sénatoriales ne bouleverseront pas l’équilibre du Sénat. Je ne vois pas le président Larcher laisser sa place à une femme demain" (...) "Mais je ne doute pas qu’il y ait un jour une présidente du Sénat"

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A propos du pouvoir d'achat : 

"Il n’est plus question aujourd’hui de refaire des chèques" (...) "Dans le domaine de l’alimentation, je pense qu’il faut changer les règles et que les négociations entre distributeurs et industriels se fassent toute l’année"

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A propos du projet de loi immigration :

"J’ai cru comprendre qu’il n’y aurait qu’un seul texte" (...) "Il faudra trouver un point d’équilibre entre la gauche et la droite, c’est l’objet des discussions de la Première ministre"

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A propos de la relance du quinquennat d'Emmanuel Macron :

"La dissolution n’apporterait pas de solution de gouvernement, nous devons avancer sur les sujets qui intéressent les Français. Ce ne sont pas les grandes lois qui mettent en colère les gens, mais leur quotidien"

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