François-Xavier Bellamy l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat - Jeudi 27 mars 2025

27 mars 2025

François-Xavier Bellamy, Député européen et vice-président des Républicains, l'a dit dans Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat 

Propos recueillis par Oriane Mancini et Julien Lécuyer (La Voix du Nord)

Sur l'Ukraine :

« J’ai entendu beaucoup de chefs d’Etats européens s’inquiéter du format des réunions (...) La première réunion que le président de la République a organisé à Paris a suscité une forme d’incompréhension »

Voir l'extrait

« La dernière séquence aura tristement eu le mérite d’ouvrir les yeux de tous ceux qui ont voulu nous faire croire que c’était l’Ukraine qui était belliciste ... Qui a refusé le cessez-le-feu ? C’est Vladimir Poutine »

Voir l'extrait

 

Sur l'alliance avec les Etats-Unis :

« Les Etats-Unis sont nos alliés, et je crois qu’ils le resteront (...) Cette alliance ne peut plus vouloir dire dépendance, les Etats-Unis sont nos alliés, cela ne veut pas dire qu’ils sont nos suzerains et que nous sommes leurs vassaux »

Voir l'extrait

 

Sur les moyens financiers pour la défense : 

« La question de notre dette, c’est un sujet de sécurité. Aujourd’hui, la dette française est une vulnérabilité pour la France »

Voir l'extrait

« Ce qui fait le dérapage de notre dépense publique, ce n’est pas le soutien à l’Ukraine, c’est la dépense sociale (...) La vraie catastrophe pour nos finances publiques, c’est, par exemple, le dérapage des comptes sociaux sur les retraites »

Voir l'extrait

 

Sur l'augmentation de 25% des droits de douane sur les automobiles :

« Mettre des droits de douane entre des grands pays qui coopèrent depuis longtemps sur le plan commercial, c’est détruire de la valeur »

Voir l'extrait

 

Sur la justice des mineurs :

« Je soutiens la proposition de loi telle que votée par l’Assemblée nationale (...) Je comprends ce que dit Francis Szpiner quand il alerte sur les enjeux de constitutionnalité »

Voir l'extrait

 

Sur la présidence des Républicains :

« Dans cette élection, il n’y a pas d’adversaires, il y a des concurrents (...) Ce qui compte pour nous, ce n’est pas de reconstruire un parti, c’est de reconstruire un pays »

Voir l'extrait

 

Sur l'élection présidentielle :

« Je ne sais pas si Édouard Philippe a vraiment incarné de par son action à Matignon le bilan de la droite et s’il peut incarner, de ce fait, la reconstruction d’une droite crédible »

Voir l'extrait

Expert

Contact Presse