Guillaume Larrivé l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" - Lundi 13 décembre 2021

Sur le référendum en Nouvelle-Calédonie :

"Il y a une abstention, mais aussi un suffrage qui s’est exprimé à trois reprises de rester à nos côtés. Il faut s’en réjouir, parce que la France a cet atout formidable des territoires d’outre-mer."
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Sur la crise sanitaire :

"Je suis inquiet pour l'hôpital public. Bientôt deux ans après le début de l’épidémie de Covid, on se pose les mêmes questions sur le terrain, faute d’avoir su piloter la réorganisation pratique, fonctionnelle de l’hôpital."
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Sur la vaccination des enfants :

"Je pense que les responsables publics ont un devoir d’humilité. Je propose donc de s’en remettre à la sagesse des autorités. Je n'ai pas d'avis scientifique à donner."
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Sur l'indemnité inflation :

"Mon modèle ce n’est pas l’Union soviétique. Si on veut récupérer du pouvoir d’achat, il faut des entreprises qui innovent et qui conquièrent des marchés. Il ne faut pas promettre n'importe quoi, je ne suis pas socialiste."
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Sur Valérie Pécresse :

"Il ne faut pas réduire Valérie Pécresse à une certaine caricature. J’appelle chacun dans la majorité à garder son sang-froid. Le pêché d’arrogance traduit, notamment de la part de l’aile socialiste de la majorité, beaucoup de fébrilité."
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Sur le Guantanamo à la française :

"Sur le fond, nous sommes d’accords pour dire : attention, des bombes humaines vont être libérés de prison. Ce que nous proposons, avec Valérie Pécresse et Eric Ciotti c’est une rétention décidée par un juge, pas une peine."
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Sur Eric Zemmour :

"Je ne voterais pour ma part jamais pour Eric Zemmour. Je n’apprécie pas du tout la manière dont il a mis du sel sur les plaies de l’histoire. Eric Zemmour doit être traité en adversaire, notre projet pour la France n'est pas le sien."
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