Hervé Marseille l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat - Mercredi 9 juillet 2025

9 juillet 2025

Hervé Marseille, Président du groupe Union centriste au Sénat, sénateur des Hauts-de-Seine, l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat

Propos recueillis par Steve Jourdin et Christelle Bertrand (groupe La Dépêche)

Sur le budget 2026 :

“Nous sommes derrière l'Italie en matière de coût de nos emprunts. Le premier poste budgétaire est devenu le remboursement des intérêts de la dette.”

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Sur les propositions du Sénat en matière budgétaire :

“La principale proposition que nous avons, c’est l’année blanche. On fait participer tout le monde en ne revalorisant pas au niveau de l’inflation."

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Sur les choix économiques envisageables au sein du paysage politique :

“On sait depuis le gouvernement Barnier que si on ne veut pas être dépendant du RN à l’Assemblée nationale, il faut trouver un accord avec les socialistes. Avoir une taxe sur les très hauts revenus de type Zucman, pourquoi pas ?”

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Sur le renforcement du pouvoir des préfets :

“Il faut contrôler ce que font les agences ! Vous avez, au ministère des Sports, des agences qui ont plus de budget que le ministère des Sports."

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Sur le changement du mode de scrutin à Paris, Lyon et Marseille :

“Je crois que cette réforme est importante, elle ne mérite pas toutes les avanies qu’on veut bien lui prêter.”

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Sur le texte sur la réforme de l’audiovisuel public que le Sénat doit examiner jeudi :

“Ça fait deux ans que ce texte se promène, il a été voté à l'unanimité il y a deux ans.”

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Sur la formule qui sera retenue par l’exécutif :

“La proportionnelle, par principe, je suis favorable. Avec la proportionnelle, les alliances se font après l’élection, c'est-à-dire que ça permet d’avoir des coalitions."

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Sur les tensions au sein du socle commun :

“C’est important que les responsables politiques des partis discutent pour dire ce qu’ils pensent. Il faut davantage de dialogue, sinon ça peut créer des difficultés très préjudiciables.”

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Sur la candidature d’Emmanuel Macron en 2032 :

“Ce n’est pas impossible, c’est à peu près ce qu’il a dû vouloir dire.”

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