Ils l'ont dit dans l'émission spéciale résultats du premier tour des élections législatives, en partenariat avec LCP – Assemblée nationale, sur Public Sénat - Lundi 1er juillet 2024

Xavier Iacovelli, sénateur (RDPI-Renaissance) des Hauts-de-Seine : 

“Le macronisme, dans son ADN, n’est pas mort. Après, hier soir, c’est une défaite cinglante, nous arrivons en troisième position. Peut-être qu’on s’attendait à pire”

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“Je me suis engagé en politique le 21 avril 2002. Pour moi le front républicain, ça veut dire quelque chose. J’appelle nos candidats, si on est en troisième position, à se désister et à faire barrage à l’extrême-droite”

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“Vous êtes prêt, demain, à voter des textes du RN. En votant pour des candidats comme vous, vous apporterez la majorité absolue au RN”

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Geoffroy Didier, candidat (LR) dans les Hauts-de-Seine, secrétaire général délégué des Républicains : 

“Il y a une exaspération qui monte dans le pays. Emmanuel Macron est le premier responsable. Le RN est le réceptacle de ces colères [...], je ne les condamne pas moralement”

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“Ce n’est pas le temps des combinaisons d’appareil, c’est le temps des convictions. Nous avons pris une décision que je trouve sage, c’est de ne donner aucune consigne de vote”

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Alexandre Ouizille, sénateur (PS) de l’Oise, membre du bureau national du Parti socialiste : 

“La gauche a fait bloc. Elle a permis de faire barrage au RN. Après le front populaire, vient le moment du front républicain”

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“On dit qu’il faut se désister, à tout prix éviter le RN. La majorité, après avoir été dans ce principe d’équivalence mortifère entre la gauche et l’extrême-droite, est en train, pour une partie d’entre elle, de se reprendre”

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