Ils l'ont dit lors des Questions d'actualité au Gouvernement sur Public Sénat - mercredi 15 mars 2023

A propos de la réforme des retraites :

Marc-Philippe Daubresse, sénateur (LR) du Nord

"À 95%, c’est le texte voté par la majorité sénatoriale. Nous n’avons pas travaillé pour rien" (...) "Il reste à ce que certains collègues députés LR soient cohérents !"

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Martin Lévrier, sénateur (RDPI-Renaissance) des Yvelines

"C’est un texte de raison, la droite sénatoriale en a sa part. Reconnaissons à notre gouvernement sa volonté de l’améliorer avec un volet social de l’ordre de 6 milliards"

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"Cette réforme ne pouvait pas être populaire puisqu’elle demande des efforts aux gens" (...) "Mais c’est quoi la politique ? Ecouter le vent de la vox populi ou être courageux ?"

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Pierre Ouzoulias, sénateur (Communiste) des Hauts-de-Seine

"La CMP est un archaïsme démocratique. Elle n’est pas pluraliste. Qui peut croire que la majorité votera un texte sans l’accord du gouvernement ? Je préfère une démocratie qui se fait au grand jour, devant tout le monde"

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Bernard Jomier, sénateur (Socialiste, Écologiste et Républicain) de Paris

"Il n’y aura pas d’issue parlementaire apaisée sur cette réforme. Elle est tellement contestée dans l’opinion qu’une rupture s’est introduite entre la procédure parlementaire et le peuple"

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Jérémy Bacchi, sénateur (Communiste) des Bouches-du-Rhône

"C’est plutôt en train de démarrer, y compris dans les petites entreprises. La contestation prend de l’ampleur" (...) "Ce que sont en train de faire les travailleurs en grève, c'est la voie à suivre"

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Anne-Charlène Bezzina, constitutionnaliste

"Non seulement l’hostilité est stable, mais la poursuite du processus législatif n’amenuise pas la contestation" (...) "Il faudra recoller les pots cassés entre la rue et les représentations parlementaires"

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"Le débat a bousculé tous les équilibres. Le parti LR sort très affaibli de cette réforme des retraites, les députés sont fracturés"

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Éliane Assassi, présidente du groupe communiste au Sénat

"Le ton de la Première ministre est assez agressif, pour moi c’est un signe de fébrilité et de perdition. Je pense que ce gouvernement ne sait plus où il habite"

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François Patriat, président du groupe RDPI-Renaissance, sénateur de la Côte-d'Or

"Ne croyons pas que les parlementaires ne sont pas à l’écoute du pays" (...) "Certes il y a une tension, un mécontentement, mais je suis aussi élu pour prévoir l’avenir de ce pays"

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Olivier Henno, sénateur (Union Centriste) du Nord

"Le travail de la majorité sénatoriale est reconnu. C’est important pour l’image et la crédibilité du Sénat" (...) "S’il y a des difficultés sur cette réforme, c’est peut-être parce que le gouvernement n’a pas assez considéré le paritarisme"

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A propos du processus de référendum d’initiative partagée :

Patrick Kanner, président du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain, sénateur du Nord

"Il y a encore des ajustements sur le contenu du texte, mais nous allons lancer cette procédure. Il faudra que le conseil constitutionnel dise oui"

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Pierre Ouzoulias, sénateur (Communiste) des Hauts-de-Seine

"Sur quelque chose qui met en jeu deux ans de la vie d’un salarié, je pense qu’il est essentiel de redonner la parole au peuple"

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A propos du projet de loi sur l'immigration :

François-Noël Buffet, président de la commission des lois, sénateur (LR) du Rhône

"L’idée est de donner la priorité à une immigration économique qualifiée, donc de réduire l’immigration familiale et étudiante qui sont très importantes depuis quelques années"

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A propos de la réquisition des éboueurs de la ville de Paris :

Philippe Dominati, sénateur (apparenté LR) de Paris

"C’est nécessaire, ce n’est plus une question de politique mais de bon sens. On voit bien que la mairie n’est plus gérée"

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