Jérôme Guedj l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" - mardi 2 mai 2023

2 mai 2023

Jérôme Guedj, porte-parole du Parti socialiste, député (PS) de l’Essonne, l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat

Propos recueillis par Oriane Mancini et Stéphane Vernay (Ouest-France)

Mardi 2 mai 2023

A propos du 1er mai :

"C’est 7 à 10 fois plus que les 1ers mais habituels, la dernière fois qu’il y en a eu un de cette ampleur ça remonte à 2002. Ce que nous dit le mouvement, c’est que les gens n’oublieront pas."

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A propos des violences en manifestation :

"Je soutiens à chaque fois les forces de l'ordre quand elles sont prises à partie par des crétins décérébrés que sont les black blocs. Cela pose la question du maintien de l'ordre : il y a une sorte d’impuissance à les contenir."

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"Je ne vous dis pas d’aller arrêter les gens au moment où ils partent de chez eux. Quoique, on a été capable de faire des choses pour le hooliganisme dans les stades. Il n’y a pas de débat interdit."

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A propos des retraites :

"Il y a les canaux juridiques, on attend la décision du Conseil constitutionnel sur le RIP, on aura une proposition de loi à l'Assemblée. Maintenant, nous sommes sur le terrain politique : ce gouvernement est dans une impasse pour gouverner."

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"Le rendez-vous, ça s’appelle l’alternance démocratique. Après chaque mouvement social d’ampleur dans ce pays, il y a eu une réplique politique qui a suivi : après 1995, comme après 2010. A minima nous reviendrons sur les 64 ans."

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"Il faut maintenir une pression démocratique sur le gouvernement. Siffler le président, je ne vois pas en quoi c’est attentatoire à l’organisation de l’événement. Regardez l'hystérie sécuritaire du gouvernement au Stade de France."

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A propos des 100 jours "d'apaisement et d'unité" anoncés par Emmanuel Macron :

"Le gouvernement ouvre des chantiers qui sont encore problématiques. La réforme du lycée professionnel, France Travail, conditionner le RSA à une période d’activité obligatoire : ce ne sont pas des sujets qui sont super consensuels."

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A propos de la dégradation de la note de la France par l'agence Fitch :

"D'une certaine manière, les agences de notation rendent hommage au mouvement social." (...) "Personne ne pose jamais la question des baisses d'impôts ou des exonérations de cotisations sociales."

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A propos des Européennes :

"Je serai unitaire pour deux. Je n’ai pas envie, au soir des Européennes, d’avoir le RN en tête, suivi de Renaissance au dessus de 20% et un gros trou, puis EELV, le PS, le PCF et les Insoumis."

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A propos de la présidentielle 2027 et du candidat de la Nupes :

"Il faut construire un contrat de coalition pour les élections législatives pour sortir du crétinisme présidentiel. Et après on va chercher celui ou celle qui peut l’incarner. Pour ça, je ne vois pas d’autre solution que des primaires."

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"Si Jean-Luc Mélenchon décidait d’être candidat et qu’il était retenu par la majorité des électeurs de gauche, il deviendrait notre candidat. Mais il faut accepter cette dispute apaisée autour d’un programme."

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