Jordan Bardella l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat - Mercredi 29 mai 2024

Sur le drapeau palestinien à l’Assemblée :

"Je considère La France insoumise comme un mouvement politique dangereux, qui joue avec le feu et n’hésite pas à sombrer dans l’indignité "(...) "M.Mélenchon et ses amis sont dans la roue de toutes les mouvances islamistes"

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Sur Gaza :

"Reconnaître l’Etat palestinien au moment où nous nous parlons, ce serait légitimer le Hamas" 

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Sur le marché de l’électricité : 

"Le couple franco-allemand est déséquilibré, une grande partie des décisions européennes prises aujourd’hui le sont au bénéfice de l’Allemagne et au détriment de la France"

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Sur les élections européennes : 

Jordan Bardella "appelle à la sanction la plus lourde possible contre Emmanuel Macron le 9 juin" (...) "Si notre liste arrive en tête, je demanderais la dissolution de l’Assemblée"

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"Je pense que Reconquête n’aura pas d’élus, ils ne passeront pas la barre des 5%", prédit le RN" (...) "C’est la raison pour laquelle je dis à leurs électeurs de venir avec nous"

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Sur l'économie : 

"Nous sommes encerclés par des grandes puissances qui font du patriotisme économique" (...) "Aux frontières de l’UE, je souhaite que l’on relève, sur les filières où nous sommes en concurrence, le tarif douanier commun"

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Sur l'agriculture : 

"On ne sortira pas des accords commerciaux en bâtissant des murs, je veux de la réciprocité" (...) "On met en concurrence nos agriculteurs avec des produits qui ne respectent aucune norme, aucune condition sociale"

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Sur le prix plancher : 

"Dans une économie ouverte ce système n’a pas de sens, car il est facilement contournable" (...) "Nous, nous défendons ‘le prix garanti'"

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Sur l'immigration : 

"Je souhaite que l’on puisse refouler les bateaux qui arrivent sur les côtes européennes, et qu’on les raccompagne dans les ports de départ. C’est le seul système efficace pour protéger l’Europe d’une submersion migratoire"

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Sur le RN qui veut mettre fin à la libre circulation des ressortissants extra-Européens dans Schengen :

"Ce n’est pas un Frexit caché, maitriser ses frontières, ce n’est pas sortir de l’UE !"

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Sur le débat avec Gabriel Attal : 

"J’ai du respect pour Gabriel Attal en tant que personne, ce qui ne m’empêche pas d’être un adversaire politique farouche. Je l’ai trouvé arrogant. Un Premier ministre est tenu à une forme de stature et de respect vis-à-vis de l’opposition"

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