Julien Odoul l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat - Lundi 30 juin 2025
Julien Odoul, Député de l’Yonne et porte-parole du RN, l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat
Propos recueillis par Alexandre Poussart et Stéphane Vernay (Ouest-France)
Sur le réchauffement climatique :
« Les énergies renouvelables intermittentes, que ce soit le solaire ou l’éolien, sont une arnaque, un inspirateur à subventions. »
« En rien cela n’améliore la situation écologique. »
Sur les ZFE :
« Je veux bien que les écologistes mettent tout sur les affreux automobilistes qui polluent, mais c’est faux. »
« On allait avoir un système qui allait exclure des millions de Français, en fonction de leur niveau de richesse. »
Sur la censure :
« Nous attendons le projet de budget, nous ne tremblerons pas quand il s’agira de censurer. »
« La censure telle que proposée par la gauche est une censure d’opérettes et d’apparats. »
Sur le conclave sur les retraites :
« Le conclave n’a été qu’un moyen pour François Bayrou de manœuvrer et de gagner quelques semaines précieuses pour son maintien au gouvernement. »
« François Bayrou est englué dans une forme d’immobilisme. »
Sur les retraites :
« Le vrai changement aura lieu au moment de la présidentielle : il aura lieu quand nous aurons une majorité pour agir, avec un système plus juste, pas arrimé sur un âge mais sur le nombre d’années travaillées. »
Sur la réforme de l’audiovisuel public :
« Aujourd’hui, est-ce que l’on a besoin d’un audiovisuel public ? Est-ce que l’on a besoin de faire payer les Français pour des chaînes qui agissent contre leurs intérêts ? »
« Nous souhaitons la privatisation. »
Sur la proportionnelle :
« François Bayrou nous avait promis cette réforme en septembre, or elle interviendra après le budget. M. Bayrou nous prend pour des enfants, on comprend très bien la manœuvre.
Sur la possibilité d'une nouvelle dissolution :
« Nous nous y préparons depuis septembre dernier, nous sélectionnons les candidats, nous serons prêts si le président de la République dégaine la dissolution. »
Sur l'interdiction de la marche des fiertés à Budapest par Viktor Orban :
« On a des divergences, nous n’avons pas les mêmes nationalités. »
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