Laurent Marcangeli l'a dit dans "Bonjour Chez vous !" sur Public Sénat - Jeudi 20 mars 2025

Paris, France, 20 mars 2025

Laurent Marcangeli, ministre de l'Action publique, de la fonction publique et de la simplification, l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat

Propos recueillis par Oriane Mancini et Julien Lécuyer (La Voix du Nord)

Sur le "conclave" sur les retraites :

"Les partenaires sociaux pouvaient discuter de ce qu'ils voulaient. En revanche, ils devaient présenter une copie finale qui tient compte de la question de l’équilibre du système."

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"Le Premier ministre a trouvé une situation compliquée : un gouvernement qui venait d’être renversé. Je pense qu'avec son attitude responsable, le Parti socialiste ne se porte pas plus mal de l’opinion."

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Sur la défense :

"Il va falloir ensemble repenser notre modèle économique. Sur les 35 heures, tout est sur la table, mais on est dans une situation politique qui rend difficile le fait de passer des textes à l’Assemblée. La stabilité avant tout."

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Sur la fonction publique :

"Le point d'indice sera gelé pour 2025. Ensuite, j'ai ouvert un agenda social. Les ministres ne durent pas très longtemps, mais mon successeur aura déjà la trame d’un projet pour repenser la fonction publique de demain."

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Sur le projet de loi de simplification :

"Le code de l’environnement a pris 900% en 20 ans. Cela ne remet pas en cause mon engagement pour léguer à nos enfants un monde meilleur, mais il y a des normes imbéciles qui existent, qui sont des blocages à l’investissement."

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Sur l'interdiction du port du voile dans le sport :

"Le fondamentalisme religieux est un fléau pour notre modèle de société républicaine et laïque, donc j'y suis favorable. Le gouvernement n’a pas à empêcher le Parlement de légiférer."

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Sur les propos d'Édouard Philippe : 

"Édouard Philippe ne remet pas en cause l’action de François Bayrou, il déplore que la situation politique dans laquelle nous nous trouvons rende difficile les grands sujets de transformation dont le pays a besoin."

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Sur la position de Bruno Retailleau :

"Bruno Retailleau est un homme de qualité, nous avons beaucoup de lignes de partage. Il fait partie des responsables politiques importants. Mais la compétition présidentielle est encore longue et Édouard Philippe a encore une longueur d’avance."

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Sur les législatives partielles :

"Il faut que l’arc républicain se mette d’accord sur des candidatures communes, des amis de François Bayrou aux amis de Bruno Retailleau. Je me sens assez à l’aise dans cet arc."

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