Les Temps Forts du Samedi 25 septembre au Vendredi 01 octobre 2021 - Semaine 39
Les Temps Forts du Samedi 25 Septembre au Vendredi 1er Octobre 2021 - Semaine 39
Tous nos programmes sont disponibles en avant-première. La grille de la semaine 39 est à télécharger en bas de cette page.
Samedi 25 septembre à 20h
EDOUARD, MON POTE DE DROITE
EPISODE 3/3 : AUX MANETTES
Réalisé par Laurent Cibien, Produit par Lardux Films et Pays des Miroirs, 2021 - 180'
Durant les trois années où il exerce la fonction de Premier ministre d’Emmanuel Macron, de mai 2017 à juillet 2020, Edouard Philippe raconte au réalisateur Laurent Cibien, son « pote de gauche » rencontré au lycée il y a bientôt 30 ans, sa vie « aux manettes » de Matignon.
Ce troisième épisode de la série « Edouard, mon pote de droite » est construit à partir de conversations régulières dans son bureau, d'une liberté de ton permise par l'amitié entre les deux hommes.
Nourri de situations observées au plus près et des événements inattendus qui surgissent dans l'actualité, ce film est le récit sur une très longue période de la fabrication d’une carrière politique, celle d’Edouard Philippe, et une analyse de la fabrique du pouvoir dans la France contemporaine.
- Suivi d'un débat présenté par Rebecca Fitoussi dans "Un Monde en docs"
- Rediffusion le dimanche 26 septembre à 11h et en replay sur publicsenat.fr dès le lendemain de sa diffusion sur le canal 13
Vendredi 1er octobre à 22h
AU NOM DU PATRIMOINE
Réalisé par Thomas Raguet, Produit par Au Tableau Productions, 2021 - 52'
Il y a 20 ans, les images de destruction des bouddhas géants de la vallée de Bamiyan en Afghanistan choquaient la planète entière. Préservées pendant des millénaires, ces statues de plusieurs dizaines de mètres de haut taillées dans la roche ont disparu en un instant dans un nuage de fumée, victimes de la folie épuratrice des talibans. Cette destruction annonçait le début d’une nouvelle ère, celle de l’atteinte délibérée au patrimoine et de son instrumentalisation médiatique. Avec les groupes islamistes au Sahel puis l’Etat islamique en Irak et en Syrie, le patrimoine mondial a payé un lourd tribu. Les sites antiques de Palmyre, Hatra mais aussi les musées de Mossoul ou de Raqqa ou des monuments religieux, y compris islamiques, ont été réduits en miettes. Des atteintes qui, depuis 2016 avec la condamnation du djihadiste malien Ahmad Al Faqi Al Mahdi, sont reconnues comme crimes de guerre par la Cour pénale internationale. Mais à côté de cette réparation morale, la communauté internationale s’active aujourd’hui à la réhabilitation et à la reconstruction de ces témoins des civilisations passées.
Sous la bannière de l’UNESCO mais aussi d’ALIPH, l’Alliance internationale pour la protection du patrimoine dans les zones en conflit initiée par la France et les Emirats arabes unis, certains sites pansent leurs plaies. A Mossoul, en Irak, le musée de la ville et sa collection d’art assyrien renaissent peu à peu avec l’aide du musée du Louvre, tout comme le vieux minaret de la mosquée Al-Nouri, un emblème national. A 30km de là, le monastère catholique syriaque de Mar Benham a retrouvé depuis peu le mausolée du saint qui porte son nom. Daesh l’avait pulvérisé alors que chrétiens, musulmans et yézidis le vénéraient. Aujourd’hui, la vie religieuse a repris et à travers ce patrimoine retrouvé, c’est toute la population de la région qui retrouve ses racines.
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Du 25 septembre au 01 octobre 2021.pdf
6 septembre 2021