Mathilde Panot l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat - jeudi 15 décembre 2022

15 décembre 2022

Mathilde Panot, présidente du groupe La France Insoumise à l’Assemblée nationale et députée du Val-de-Marne, l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat

Propos recueillis par Oriane Mancini et Julien Lecuyer (La voix du Nord) 

Jeudi 15 décembre 

Sur le match France-Maroc : 

"Notre position c’était le boycott diplomatique. Ça faisait plaisir de voir cette liesse populaire dans le pays." (...) "La France a une responsabilité dans l’attribution de la coupe du monde au Qatar."

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"On nous a signalé ce qui pourrait s’apparenter à des ratonnades contre des supporters de l’équipe marocaine." (...) "Je suis très inquiète des groupuscules d’extrême droite dans notre pays. Il y a alerte."

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Sur Adrien Quatennens : 

"Personne n’a demandé l’exclusion définitive d'Adrien Quatennens, je le dis. Personne ne peut lui interdire d’aller et venir. Nous pensons qu’il est nécessaire de marquer le coup sur une question que l’on doit prendre avec sérieux."

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"Je suis assez fière de notre processus de délibération dans notre groupe parlementaire. Nous ne pouvons pas demander à un député de ne plus venir à l'Assemblée. Demander à un élu de démissionner, ça n’existe pas."

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"Non. Je lui expliqué le processus que nous avions choisi avec le groupe parlementaire." (...) "Ma suppléante a été condamnée, j’aimerais qu’elle puisse être députée."

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Sur La France Insoumise : 

"Nous sommes dans un moment de forte croissance, cela implique des formes de réorganisation. Nous avons décidé de garder un mouvement et non un parti, qui ne fonctionne pas tout à fait de la même manière."

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Liste séparée de la Nupes aux européennes : 

"Bien sûr que je le regrette. On va continuer à discuter. Tout se réfléchit, toutes les semaines nous nous réunissons dans l’intergroupe."

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Sur les retraites : 

"Pour combattre cette réforme des retraites, il faut montrer qu’une alternative est possible. La prochaine étape c’est de combattre et dans la rue et dans l’hémicycle cette réforme injuste. En 2019, il y avait 2 millions de personnes dans la rue."

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