Renaud Muselier l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" - mardi 21 février 2023

A propos d'Emmannuel Macron à Rungis :

"Tout le monde a bien compris qu’il fallait travailler plus longtemps. On ne peut pas être les seuls en Europe à 62 ans quand tout le monde est à 65. Ce sont des arguments de bon sens."

Voir l'extrait

A propos de la réforme des retraites :

"La bataille de l’opinion est perdue à partir du moment où celui qui est pour est absolument incapable de vous expliquer pourquoi, et ce qu’il y a dans la réforme." (...) "Tout le monde a bien compris qu’il fallait y passer."

Voir l'extrait

"Globalement l’économie française va bien, très bien même. Si on ne la fait pas maintenant, on ne la fait jamais."

Voir l'extrait

"Avec sa commission mixte paritaire, Gérard Larcher est le plus fort du pays, il imposera ce qu'il souhaite pour faire en sorte qu'il y ait une loi adaptée à sa sensibilité personnelle pour l'intérêt de la France."

Voir l'extrait

A propos de la pénibilité au travail :

"Ça dépend quels métiers, si vous commencez très tôt avec un métier très pénible... Mais à partir de quel moment c’est pénible ? Un microchirurgien qui reste debout toute la journée, ce n’est pas pénible son travail ?"

Voir l'extrait

A propos des grèves et de la journée du 7 mars :

"Je rends hommage aux syndicats, ils ont été très raisonnables, on n’a pas eu de casse. Ce poumon démocratique de la manifestation fait partie de la démocratie. Les pays où l’on ne manifeste pas sont des pays autocrates."

Voir l'extrait

"Ils vont tout bloquer. Ce sont toujours les mêmes qui bloquent et qui pénalisent ceux qui veulent travailler." (...) "Les syndicats ont gagné la bataille de l’opinion grâce à des grèves qui n’étaient pas pénalisantes."

Voir l'extrait

A propos du groupe Les Républicains :

"Ce sont des LR que j’aime" - En parlant de Gérard Larcher et Bruno Retailleau

"Je n'aime pas ceux qui sont toujours contre tout" - En parlant d'Aurélien Pradié et Eric Ciotti

Voir l'extrait

A propos de la guerre en Ukraine :

"Mais ils ont choisi l’Occident, parce qu’ils aiment vivre libre. Et ils payent très cher cette liberté. Ils endurent des moments épouvantables. J’aimerais qu’on évite une guerre mondiale, il y a tous les risques."

Voir l'extrait

A propos de l'aide active à mourir :

"Le médecin que je suis n’y est pas très favorable, mais l’homme se dit qu’à un moment où un autre, il faut arrêter. Ce n’est pas aux médecins de s’en occuper, c'est à la loi de faire que les gens qui souffrent puissent partir."

Voir l'extrait

A propos de la sécheresse :

"Je suis très attentif, mais en même temps très optimiste. Nos aînés avaient des problèmes d’eau. On doit largement pouvoir le faire au niveau des régions, où l'on présente un plan bleu avec du goute à goute pour nos vergers."

Voir l'extrait

A propos de la réforme des institutions :

"Si on ne sait pas à quoi sert une région, ce n’est pas avec un coup de ciseau que l’on va régler le problème. Il faut faire comme dans les régions allemandes ou espagnoles avec un bloc de compétences très clair."

Voir l'extrait