Stéphane Le Foll l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat - mercredi 19 mars 2025

Sur l'Ukraine : 

"L’erreur de Trump est d’avoir voulu rentrer dans une négociation bilatérale avec Poutine. Cette idée qu'on allait pouvoir régler les problèmes du monde 'entre hommes' le met dans une impasse diplomatique et stratégique."

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Sur le financement du réarmement et modèle social :

"On mélange deux choses totalement différentes. Sur les retraites, on s’est engagé sur un faux-débat : la question c’est la durée de cotisation. LFI est encore sur 60 ans, on est en 1981, il faut évoluer."

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Sur les retraites :

"Dire au fur et à mesure des négociations qu'on ne veut pas de ça ou de ça comme François Bayrou, c'est compliqué. Ensuite pour les vaudevilles, le côté je claque les portes... C'est pareil pour Gérald Darmanin ou Bruno Retailleau".

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Sur l'Algérie :

"Il faut être ferme avec l’Algérie, mais il faut arrêter la surenchère. On a des mesures de fermeté à avoir, sur la question des visas notamment. Mais si à chaque fois on en rajoute, on voit ce que ça donne avec Trump : une impasse."

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Sur le port du voile dans le sport :

"On a un problème avec une certaine partie de l’islam qui a transformé la question religieuse en question politique. On ne doit pas céder sur l’objectif, mais dire on met ça dans la loi sinon je m'en vais... il faut arrêter."

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Sur le congrès du Parti socialiste :

"Il faut que l'on arrête avec ce jeu idiot qui consiste à aligner des signataires. La nouveauté, ce sont des candidatures de ceux qui soutenaient Olivier Faure jusqu’à Marseille et qui ont changé d’avis, comme Boris Vallaud"

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Sur la gauche : 

"Il faut se demander si la ligne politique de LFI peut faire gagner la gauche. C’est non. En 2024, le NFP a fait 28%. En 2012, Hollande fait 28% à lui tout seul et la gauche fait 43% donc la gauche s'est atrophié. Il faut lui redonner un espace."

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Sur le Parti socialiste :

"Cette génération qui s’est construite sur le fait de tourner la page du quinquennat de François Hollande n’est pas capable d’en écrire une autre. Elle devrait se poser des questions."

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Sur Raphaël Glucksmann :

"Je pense qu’il faut un candidat issu de la famille socialiste démocratique française, qui a une histoire dans ce pays. Raphaël Glucksmann est dans une approche très européenne, globalisante."

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