Bruno Retailleau l'a dit dans "Audition Publique" sur les chaînes parlementaires

Sur la victoire de Valérie Pecresse au Congrès LR :

"Je pense qu'elle est la mieux placée" (...) "Je pense que mon équation ne me permettait peut-être pas de rassembler toutes les droites françaises".

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Sur la vaccination des enfants :

"Il faut garder foi en la science" (...) "Le gouvernement aurait dû mettre en place des capteurs de CO2 dans chaque classe."

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Sur la gestion de la crise sanitaire :

"On a eu une première année chaotique" (...) "On a été le fer de lance d'une critique constructive".

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Sur l'obligation vaccinale pour tous :

"Cela paraît difficile" (...) Il faut être raisonnable. Heureusement, les Français sont parmi les Européens les plus vaccinés."

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Sur le principe du "quoiqu'il en coûte" :

"Cette folie dépensière ne traite rien" (...) "Si la dépense publique était l'indicateur de l'efficacité d'une politique publique, on serait à l'avant-garde du bonheur universel".

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Sur le retour du cumul des mandats :

"Valérie Pécresse a dit que ça lui semblait souhaitable d'avoir des députés, des sénateurs, qui soient maires de communes [de taille] raisonnable"

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Sur le port du voile lors des sorties scolaires et à l'université :

"Moi je persiste, je considère que le voile est un combat de type non pas religieux, mais politique"

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Sur les violences lors du meeting d'Eric Zemmour :

"Quand on va à un meeting, ce n'est pas pour chercher la bagarre" (...)  "Je condamne à la fois les violences et les provocations."

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Sur le second tour de la présidentielle :

"Si on est au second tour, nous battrons Emmanuel Macron ! Ce que ni Marine Le Pen, ni Eric Zemmour ne pourront faire"

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Sur la campagne présidentielle :

"Cette campagne elle se gagnera à droite, jamais la France n'a été autant à droite"

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Sur la situation migratoire :

"[La droite] avait de bien meilleurs résultats : aujourd'hui, on accueille de plus en plus et on expulse de moins en moins"

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"Il y a des seuils au-delà desquels on ne peut pas aller trop loin, notamment quand cette immigration se concentre dans un certain nombre de quartiers"

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Sur les propos du pape au sujet des politiques migratoires :

"L'enfer est pavé de bonnes intentions. Une immigration à tout-va pourrait déstabiliser nos sociétés et mettre à mal notre propre civilisation" (...) "Le pape est le pape, moi je suis sénateur"

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