Bruno Retailleau l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat - jeudi 6 octobre 2022

6 octobre 2022

Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains au Sénat, l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat

Propos recueillis par Oriane Mancini et Julien Lecuyer (La Voix du Nord) 

Jeudi 6 octobre 2022

Sur Éric Dupond-Moretti : 

"Je n'étais pas pour la jurisprudence Balladur, mais ce qui me choque, c'est le deux poids, deux mesures. Quand on a une doctrine, on s'y tient. Éric Dupond-Moretti va désigner celui qui le jugera, la situation est ubuesque."

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Sur les retraites : 

"Si ça va dans le bon sens, nous le voterons. La droite, c’est de dire aux Français qu’on ne peut pas raser gratis. La ligne rouge, ce serait une fausse réforme des retraites. Il faut nécessairement un report de l’âge légal."

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"La retraite, c’est la mère des réformes parce que ça consiste à dire aux Français qu’on peut améliorer la soutenabilité de notre système social à condition de mettre plus de travail dans notre économie."

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Sur la sobriété énergétique : 

"Le gouvernement est dans l'infantilisation et la communication. Quelques minutes d'effacement en heure de pointe pour les volontaires nous permettrait d’économiser 2,5 à 3 EPR. On tarifierait cela et on le rembourserait."

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Sur les stations service : 

"Ce n’est pas de la faute de l’Etat, cela vient du fait que Total a fait une ristourne qu'il y a des grèves qui durent depuis trop longtemps. Ça peut bloquer l’économie française. Le gouvernement doit s’en mêler."

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Sur le rejet de la loi de programmation des finances publiques :

"Ce texte exprime la faiblesse du gouvernement en matière de finances publiques. Il n’est pas question de voter ce texte tel quel. On n’est pas sorti du quoiqu’il en coûte."

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Sur les collectivités :

"On a voté 430 millions d’euros en juillet, et aucune des communes de France n’a vu la moindre goutte d’eau arroser le sable de ses finances publiques. On ne peut pas les laisser dans un état pareil."

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Sur le projet de loi d'orientation et de programmation du ministère de l'Intérieur (LOPMI) :

"On veut une loi de programmation qui ne soit pas qu’une loi de moyens. Il faut traiter à la racine la cause l’insécurité. Tant qu’on ne mettra pas fin au laxisme pénal et au laxisme migratoire la France s’ensauvagera."

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Sur la présidence LR :

"Aurélien Pradié est secrétaire général, il peut avoir accès à un certain nombre de choses, moi je n’y ai pas accès. Éric Ciotti est président de la CNI. Je constate qu’il y a des mails et que donc des fichiers sont utilisés."

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"Que des élus me soutiennent, c’est bien. Je me déplace beaucoup et les salles sont pleines, ma candidature suscite un intérêt chez les militants."

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"Avec moi, les militants auront à la fois la fermeté dans la ligne, mais aussi cette capacité à rassembler." (...) "Je ne veux pas l’union des droites, mais de la droite par les électeurs. Marine Le Pen ne veut aucune alliance."

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Sur Nicolas Sarkozy : 

"C'est parti d’une indiscrétion dans un hebdomadaire disant ‘si Retailleau est élu, je quitte LR’. Quand on me cherche, on me trouve. Son attitude a beaucoup déçu pendant la présidentielle."

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Sur l'Arménie : 

"J’ai été choqué quand Ursula von der Leyen est allé en Azerbaïdjan pour conclure un accord gazier. L'Azerbaïdjan agresse un Etat souverain, tout comme la Russie. C’est l’honneur du Sénat d’avoir dénoncé cela de manière transpartisane."

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