Fabien Roussel l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" - jeudi 28 avril 2022

Sur une potentielle union de la gauche :

"Nous voulons tout faire pour susciter cet espoir de construire une majorité à l'Assemblée, qui réunira tout le monde, insoumis, communistes, socialistes et écologistes."

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Sur la coalition :

"Il faut que chacun puisse se sentir respecté dans le programme. Les discussions piétinent. Construire un rassemblement, ça ne peut pas être ‘ralliez-vous à mon programme et à mon logo et élisez-moi Premier ministre’."

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Sur Jean-Luc Mélenchon souhaitant être Premier ministre :

"Nous voulons rétablir une démocratie qui repose sur le Parlement, je regrette que l’on présidentialise à ce point les législatives. (...) J’appelle de mes vœux une plénière avec les 4 forces politiques."

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"Je n’ai aucune difficulté là-dessus, mais ce qui compte, c’est la majorité d’abord. Construire une majorité, cela veut dire additionner localement, avec un groupe insoumis important, ils sont arrivés en tête."

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Sur le contrat de législature : 

"Il ne peut pas faire 300 pages."

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Sur le nucléaire :

"Je respecte tout à fait les différences qui existent parmi nous. Mettons nous d'accord sur le pouvoir d'achat et les services publics, avec 10 propositions pour juillet."

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Sur les circonscriptions législatives : 

"Nous sommes très loin du compte. Actuellement, nous ne pourrions pas nous présenter dans 90% du territoire français. (...) "Je dirais qu'être à 4 [LFI, PCF, EELV, PS] ensemble est presque un préalable."

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Sur un potentiel défilé commun le 1er mai :

"Bien sûr ! On a une lourde responsabilité, il faut mesurer le risque, je crois que tout le monde ne le fait pas, qu’il y a de voir l’extrême droite l’emporter dans de nombreuses circonscriptions."

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Sur le 1er mai : 

"Le message, c’est qu’une grande majorité de Français ne veut pas de la réforme des retraites repoussant l’âge de départ à 65 ans. Il faut qu’il entende que s’il a eu 58% des voix, ce n’est pas un vote d’adhésion à son programme."

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Sur la présidentielle :

"Le problème, c’est quand même les institutions. Cette Vème République sent la naphtaline : dès le 1er tour on fait déjà barrage et on vote pour celui qui a le plus de chances d'accéder au 2nd tour."

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Sur l'Ukraine :

"J’appelle à ce que l’on cesse l’escalade guerrière des deux côtés et que l’on arrive à se mettre autour d’une table pour discuter. Je souhaite d’abord un cessez-le-feu. L’Ukraine a besoin d’être défendue, c’est elle l’agressée."

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