Jean-Louis Bourlanges l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" - Jeudi 23 février 2023

A propos de l'enseignante tuée à Saint-Jean-de-Luz : 

"C'est terrible, cette femme fait son métier et tombe sur un élève dont on ne sait pas grand chose." (...) "C'est terrible, cette femme fait son métier et tombe sur un élève dont on ne sait pas grand chose."

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A propos de la guerre en Ukraine :

"Je suis un des politiques qui avait annoncé cette guerre, en revanche je n’avais pas prévu que la résistance de l’Ukraine prendrait ce tour. Depuis un an, la résistance des Ukrainiens est héroïque et d’une remarquable intelligence."

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"L’avenir de la paix dépend du rapport de force militaire. Il faut aider les Ukrainiens à gagner, c’est-à-dire libérer leur territoire. La modification d’un rapport de force en faveur de l’Ukraine, c’est la condition d’une négociation."

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"Jusqu’à présent les Chinois ont été extrêmement prudents. Ils ont affiché une solidarité réelle aux Russes, mais ils les ont amené à ne rien faire d’excessif en matière nucléaire. Ils ont intérêt à ce que l’on revienne à la paix."

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"À partir du moment où l’on ne veut pas porter la guerre en Russie, on n’a pas le choix de l’interlocuteur que l’on aura demain. On a en face de nous quelqu’un, qu’il nous plaise ou pas, avec lequel il faudra causer."

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A propos de la livraison d'armes à l'Ukraine :

"Ce qui ne m’a pas plu, c’est cette impression d’enchères publiques pour dire qui donne des chars, des avions à l’Ukraine. Les Occidentaux devraient être plus coordonnés, plus mobilisés et plus discrets."

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A propos du discours de Joe Biden :

"Il est fait pour réaffirmer un engagement fondamental des Américains aux côtés des Européens." (...) - Les Américains acceptent deux fronts : "le front euroatlantique et le front pacifique avec les incertitudes sur Taiwan."

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A propos de Zelenski au Congrès américain :

"Cela faisait penser à Churchill juste après Pearl Harbor, il a emporté l’adhésion. C'est un excellent communiquant, il s'est mis le Congrès dans la poche, notamment les Républicains."

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A propos du débat sur la réforme des retraites :

"L'Assemblée était une maison de fou. Il y a un groupe qui a décidé de pourrir les débats, LFI. Jean-Luc Mélenchon a signé le forfait en disant que le but était d’empêcher la représentation nationale élue par le peuple de voter, c'est grave."

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"Je n’étais pas hostile à ce que l’on tienne sur 65 ans. On aurait du mettre en avant l’argument économique : la France doit produire plus. La seule solution est d’augmenter la quantité de travail produite en France."

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"J’ai été effrayé par l’atmosphère à l’Assemblée, et je suis effrayé par le décalage entre l’opinion française et le climat des relations internationales, qui exige une intense mobilisation, intellectuelle, économique, politique."

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