Jean-François Copé l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat - mardi 13 décembre 2022

Sur la présidence des Républicains : 

"Les candidats se sont donnés du mal dans des conditions difficiles parce que ça n'a pas intéressé. Éric Ciotti ne peut pas ne pas entendre que près de la moitié de ceux qui ont voté au 2ème tour n’ont pas voté pour lui."

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"Il y avait un affichage très clair entre Éric Ciotti et Laurent Wauquiez, tous les militants électeurs le savaient, pour autant ça n’a pas déterminé leur choix."

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Sur Nicolas Sarkozy : 

"Je suis en rupture depuis très longtemps avec lui, je ne suis pas d’une très grande objectivité. Ce qu’il a fait à la présidentielle à Valérie Pécresse l'a mis à l’extérieur de sa famille politique, cela tourne de facto la page."

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Laurent Wauquiez à la présidentielle 2027 ?

"Ce choix ne fait pas l'unanimité. Il faut reconstruire pierre par pierre une maison qui s’est effondrée. Le score impose que l’on ouvre tous les débats : modalités de désignation, choix du candidat et surtout ligne politique."

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Sur Les Républicains : 

"Faute d’avoir une ligne claire, nous n’incarnons pas l'alternance. Si on veut se refaire, il faut tenir compte d’une réalité politique : le match est entre des partis de gouvernement et des partis extrémistes, on ne peut pas être au milieu."

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"On est totalement inaudible. Ne pas voter une réforme sur l’âge de la retraite à 65 ans, alors que nous défendons cette idée depuis toujours, nous discréditerait à jamais. Olivier Marleix dit qu'il pourrait déposer une motion de censure, c’est une folie."

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Sur la réforme des retraites :

"Les Français sont bien au courant, et pour toute une série de raisons, ils ne sont pas d’accord avec cette réforme. Donc on a un rendez-vous avec sa conscience, c’est ce qui fait la grandeur de la politique"

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Report de l'annonce de la réforme des retraites :

"Si Emmanuel Macron pense qu’il va sauver Noël et qu’il n’y aura pas de grèves, il se fait de grandes illusions. Dans ce gouvernement, dès qu'ils vont à l’obstacle, ils disent qu'ils ont piscine."

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Sur Edouard Philippe : 

"Il a une équation complexe à résoudre, il y a du boulot. La marche de la présidentielle est haute, mais elle l'est pour tout le monde. Je suis un bon spécialiste, je me suis préparé pendant des années et le circonstances ont fait que."

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