Johanna Rolland l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" - mardi 26 octobre 2021

Sur la campagne Présidentielle :

"C'est un début de campagne présidentielle prend un tour préoccupant. Quand j’entends des presque candidats prononcer des mots sanctionnés par la loi et que ça ne réagit même pas en plateau je me dis que nous avons une responsabilité collective."
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"On ne me demande plus ce qu’Anne Hidalgo pense de l’éducation ou du pouvoir d’achat, mais ce qu’elle pense des propos d’Éric Zemmour. Aux responsables politiques de poser des sujets qui vont interpeller pour sortir d’un spectacle qui lasse."
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"On est dans une forme de frénésie sondagière, c'est aussi pour certains un business avantageux. Cela dépend du sérieux avec lequel c'est fait, mais 6 mois de débat présidentiel ne peut se résumer à cette photographie."
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Sur le pass sanitaire :

"Je suis favorable à la vaccination obligatoire. Je ne suis pas inquiète d’une reprise, je suis attentive. La vaccination a beaucoup progressé mais dans certains quartiers, on n’a pas atteint les taux de vaccination suffisants."
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Sur le plan France 2030 :
"Vouloir réindustrialiser le pays c’est une bonne chose, mais c’est le Président de la République qui parle ou le candidat ?Une nouvelle fois la dimension sociale est un point aveugle total du plan du gouvernement."
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Sur l'indemnité inflation :

"Le gouvernement est à côté. Une femme qui gagne 2050 euros par mois et a 3 enfants ne touche rien. Anne Hidalgo a fait une proposition très claire, très tôt : une baisse de la TVA."
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Sur le rapport RTE :

 "C'est une question de choix politiques, en proposant 6 scénarios. On doit être clair sur la trajectoire : la priorité doit être donnée aux renouvelables, puis la part du nucléaire s’adapte au renouvelable et pas l’inverse."
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Sur les écologistes :

"Les écologistes ne sont pas nos adversaires, mais Anne Hidalgo porte une écologie plus populaire. Il faut toujours dialoguer, mais quand on parle entre nous les Français ont l'impression qu'on ne leur parle pas."
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Sur l'union de la gauche :

"Je sais quel est parfois le désarroi d’une partie du peuple de gauche de cette situation. Des échanges doivent continuer, mais pas en vase clos, la priorité c’est d’aller chercher ceux qui ne croient plus."
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