Louis Aliot l'a dit dans "Bonjour Chez Vous!" sur Public Sénat
Louis Aliot, maire (RN) de Perpignan et Vice-président de Perpignan-Méditerranée-Métropole, l'a dit dans "Bonjour Chez Vous!" sur Public Sénat
Propos recueillis par Oriane Mancini et Fabrice Veysseyre-Redon (Groupe Ebra)
Vendredi 25 juin 2021
Sur le variant Delta :
"Cela va être très difficile de reconfiner et de faire comprendre qu'il y a un nouveau danger. Je regrette que des traitements n'aient pas été suffisamment popularisés. Il faudrait arrêter l'hypocrisie."
"Les gens en ont ras le bol. Ils souffrent énormément humainement parlant. Il y a des gens qui veulent vivre et qui sont totalement déconnectés du sérieux qu'il faudrait encore avoir."
Sur l'abstention :
"La démocratie, c'est le vote. Ne pas aller voter, c'est maintenir le système en place."
Sur le parti politique du Rassemblement National :
"La "lepénisation" permettrait à beaucoup de journalistes de nous taper dessus. Mais la normalisation nous a permis de doubler les votes avec Marine Le Pen."
Sur la position du Rassemblement National lors du second tour des élections régionales :
"La catastrophe est sous nos yeux : le chômage, l'insécurité, l'immigration massive. On ne peut pas changer de politique, si on ne change pas les dirigeants qui la portent."
Sur le retrait de la gauche à l'élection régionale en Provence-Alpes-Côte d'Azur :
"Je pense que Thierry Mariani l'emportera dimanche. Les électeurs de gauche ne vont plus systématiquement voter comme des moutons pour un candidat dont on leur a dit qu'il était nul. Les gens ne sont pas fous ni suicidaires."
Sur le soutien de Nicolas Sarkozy apporté à Renaud Muselier :
"Mais que pèse Nicolas Sarkozy qui est arrivé 3ème dans sa propre course interne au sein des LR ? C'est un Has been de la politique."
Sur l'élection régionale en Occitanie :
"Carole Delga a fermé la porte aux écologistes et à la France Insoumise qu'elle a méprisés. Elle veut gouverner seule. On a la seule Présidente de Région en France qui a été condamnée pour discrimination politique. On a affaire à la pire sectaire."
Sur l'élection départementale dans les Pyrénées-Orientales :
"Je crains que Jean Castex ait engagé les négociations entre la droite LR du département des Pyrenées-Orientales et la gauche socialo-communiste. Cela prouvera la collusion qui existe entre les uns et les autres."
"Dans le cadre d'un contrat de gestion et pour éviter que la gauche continue à gérer le département des Pyrenées-Orientales, on peut s'entendre avec les LR."
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