Arnaud Robinet l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat le mercredi 21 février 2024

Sur la crise agricole :

"Il faut que le gouvernement entende les besoins de nos agriculteurs. Il y a eu des annonces, maintenant il faut passer aux actes"

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Sur la situation budgétaire de l'Etat :

"La situation budgétaire de l’Etat est catastrophique. Nous ne sommes pas au pied du mur, nous sommes dans le mur !"

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Sur le budget :

"Les économies doivent se faire au niveau des ministères et des administrations. À l’Agriculture il y a autant de fonctionnaires alors qu’il y a moins d’agriculteurs. C’est un exemple où l’on peut rationnaliser"

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Sur la décentralisation :

"Il nous faut un impôt local que les collectivités puissent lever en fonction des revenus des habitants. Il faut réfléchir à une nouvelle source de financement pour les collectivités. Aucun élu n'a voulu la fin de la taxe d’habitation"

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Sur la composition du Sénat :

"Je propose de revenir sur la composition du Sénat. C’était la chambre qui représentait les territoires. Aujourd’hui il n’y a plus un seul sénateur président d’exécutif. Est-ce qu’il ne faut pas une chambre en partie constituée d’élus locaux ?"

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Sur les 500 millions d’euros de budget pour les hôpitaux :

"Ce n’est pas à la hauteur quand on voit le budget 2024 de la Sécu qui demande plus d’un milliard d’économies à l’hôpital public"

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Sur le service d'accès au soin :

"Cela fait partie des bonnes méthodes, il y a une confusion entre le SAS et la permanence des soins. Il faut que ces SAS se généralisent, mais cela ne suffira pas à désengorger les urgences"

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Sur le recrutement de médecins à l’étranger :

"Nous, qui mettons en avant la qualité du système de santé français, sommes aujourd’hui obligés d’aller chercher des médecins étrangers. Est-ce qu’on ne va pas déshabiller Paul pour habiller Jacques ?"

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Sur les élections européennes :

"Ce discours n’est plus audible aujourd’hui, ce qu’attendent nos concitoyens, ce sont des réponses claires et concrètes. Il faut des propositions"

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"Il va falloir activer les choses, la campagne ne doit pas uniquement se limiter à un débat entre Gabriel Attal et Jordan Bardella."

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Sur la présidentielle 2027 :

"Edouard Philippe se prépare, notamment avec des déplacements sur le terrain [...] Il prend la température, échange sur des propositions, c’est une étape importante avant de se déclarer"

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