Bertrand Pancher l'a dit dans "Audition Publique" sur les chaînes parlementaires - Lundi 15 mai 2023

15 mai 2023

Bertrand Pancher, président du groupe LIOT à l'Assemblée nationale, l'a dit dans "Audition Publique" sur les chaînes parlementaires

Une émission présentée par Brigitte Boucher, avec Tâm Tran Huy (Public Sénat) et Yves Thréard (Le Figaro), en partenariat avec Le Figaro Live

Lundi 15 mai 2023

Sur la crise qui touche le pays :

"Nous sommes face à une très vaste crise sociale et politique dans notre pays"

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Sur le gouvernement :

"Ce gouvernement est de plus en plus en incapacité de gouverner, avec des projets de loi qui ont des portées très médiocres" (...) "On est tétanisés à l'idée de réformer notre pays."

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Sur la proposition de loi abrogeant la réforme des retraites :

"Il est vraiment indispensable qu'il n'y ait pas d'obstruction parlementaire, parce que je pense que le remède serait pire que le mal"

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"Le gouvernement, le président de la République et la majorité relative sont dans une peur panique. Ils utilisent tous les arguments pour tenter de nous décrédibiliser"

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"Nous sommes un groupe central. Ce groupe central a joué son rôle de catalyseur de l'ensemble des oppositions"

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La proposition de loi du groupe LIOT peut être votée selon Bertrand Pancher :

Grâce à un "plein de voix, de l'extrême droite jusqu'à LFI"

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Sur la réforme des retraites :

"On est passé outre le Parlement" (...) "redonner ses lettres de noblesse au Parlement"

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"Je ne me suis jamais caché, y compris pendant la campagne présidentielle, de mon opposition à cette augmentation de l'âge légal de la retraite"

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Sur les violences contre les élus :

"Le gouvernement aurait dû davantage protéger le maire" de Saint-Brévin, ajoutant qu'Emmanuel Macron est responsable "s'il y a plus de violence dans le débat public"

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Faut-il livrer des missiles à longue portée à l'Ukraine, comme l'a décidé le Royaume-Uni ?

"Il faut donner tous les moyens d'armement nécessaires à l'Ukraine"

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Sur la réintégration des soignants non-vaccinés :

"C'était une forte demande de Outre-mer" (...) "C'était de bon sens d'aller dans cette direction."

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Sur l'industrie verte :

"Il faut voir combien coûte cet accompagnement financier" (...) "Je me méfie toujours avec les promesses financières."

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Sur le sommet "Choose France" :

"Je n'aurais pas conseillé à Emmanuel Macron d'organiser une réception à Versailles"

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