Jean-Christophe Lagarde l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" sur Public Sénat - vendredi 18 février 2022

18 février 2022

Jean-Christophe Lagarde, député de la Seine-Saint-Denis et président de l'UDI l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !"

Propos recueillis par Oriane Mancini et Florent Buisson (La Montagne) 

Vendredi 18 février 2022 

Sur le Mali :

"C'est une décision contrainte. Sur le plan militaire, nos soldats ont mené une guerre très efficace, mais on gagne une guerre comme ça sur le plan politique. Sur ce plan, les stratégies d'Emmanuel Macron sont un echec."

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Sur la levée des restrictions sanitaires :

"On devrait gérer cette épidémie sur un plan sanitaire et pas un plan électoral. 280 morts quotidiens ce n’est pas banal, c’est un airbus qui se crache chaque jour. Au rythme où l’épidémie décroît, ce sera plus simple mi-mars."

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Sur les dépenses publiques :

"Au mois de juillet, la récréation va se terminer très vite. Valérie Pécresse est la seule qui explique que l’on doit contenir la dette, en décentralisant les fonctionnaires de papier on aura besoin de moins de monde."

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Sur les 2,5 millirads pour EDF :

"Ce que vous ne payez pas sur votre facture d’électricité, vous le payerez sur vos impôts et sur les prix après l'élection. Le plus simple aurait été de baisser les taxes, pour contenir les prix sans mettre en difficulté EDF."

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Sur la grève à la RATP :

"Cela illuste une tension sur l'inflation et les salaires. La RATP fait 130 millions de bénéfice chaque année, il y a une marge de négociation que l’entreprise doit utiliser. Il vaut mieux discuter avant d’en arriver à la grève."

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Sur le "Grand remplacement" :

"Je soutiens Valérie Pécresse il y a eu une discussion après le meeting de dimanche. Il ne faut pas faire passer Valérie Pécresse pour ce qu'elle n'est pas. C'est une erreur de communication, une maladresse."

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Sur le programme de Valérie Pécresse : 

"Ce n'est pas le programme que j’aurais présenté si j’étais candidat, mais c'est le plus proche de ce que peut penser le centre. La campagne se déroule sans débat de fond parce qu'Emmanuel Macron n'est pas encore candidat."

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Sur la différence entre l'UDI et Emmanuel Macron :

"Il n'y a eu aucune avancée sur l'Europe. On a eu un autoritarisme jupitérien, qui a ignoré les syndicats, le Parlement et les associations. Le Président a change de ligne tous les six mois."

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Sur les législatives :

"J'y réfléchirai après, y compris vu ce qu'Emmanuel Macron a fait de l'Assemblée nationale. Une Assemblée qui n'est pas capale de dire stop à un pouvoir qui dérive, cela créée une tension dangereuse pour le pays."

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