Jean-Michel Blanquer l'a dit dans "Extra Local" sur Public Sénat - Vendredi 25 février 2022

25 février 2022

Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports

L'émission politique de Public Sénat, présentée par Marie Brette, en partenariat avec Territoires TV (Wéo TV, Tv Tours, TV7 Bordeaux, TébéSud et Tébéo)

Vendredi 25 février 2022

Sur les sanctions après l’invasion de l’Ukraine :

"Européens et Américains sont décidés à aller très loin, à toucher au portefeuille, mais aussi à la vie quotidienne de la Russie" (...) "Il faut un rapport de force qui permette d’aller de l’avant"

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Sur le soutien de la France à l'Ukraine :

"Être solidaire de l’Ukraine peut vouloir dire de les soutenir avec des armes" (...) "Il faut toujours avoir dans l’idée que la guerre est possible […] Ces dernières années, la démocratie et la paix ont reculé dans le monde"

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"Nous sommes clairement dans une situation où les réfugiés ont un droit d'asile, l'accueil ne doit pas reposer sur un seul pays. Nous devons être tous solidaires"

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Sur les propos de Jean-Yves Le Drian sur la menace nucléaire : 

"Une façon de rappeler que le rapport de force existe, que les Etats-Unis plus l’Europe occidentale, ça pèse plus que la Russie" (...) "La Russie doit comprendre qu’elle ne peut pas aller plus loin"

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Sur les lycées français en Ukraine :

"La réouverture des trois lycées français en Ukraine n’est pas au programme. Nous avons créé une cellule de crise pour les familles. Nous serons attentifs à la situation personnelle de chaque élève"

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Sur le prix du gaz :

"Il est inévitable que la crise en Ukraine aura des répercussions sur tout un chacun, peut-être plus fortes sur les Allemands que sur les Français. Mais n’imaginons pas qu’il n’y aura pas de conséquences"

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Sur le bilan de JM Blanquer par le Sénat :

"C’est un rapport très politique, réalisé par certains sénateurs… alors que les relations avec le Sénat ont été bonnes durant 5 ans. [...] J’ai été surpris de voir arriver ce rapport à la dernière minute"

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Sur les critiques autour de la réforme des lycées d’excellence :

"Nous accentuons la méritocratie républicaine, il n’y aura jamais de nivellement par le bas sous ma responsabilité, c’est le contraire"

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