Stanislas Guerini l'a dit dans "Bonjour Chez Vous!" sur Public Sénat
Stanislas Guerini, député de Paris et délégué général de La République En Marche, l'a dit dans "Bonjour Chez Vous!" sur Public Sénat
Propos recueillis par Oriane Mancini et Nathalie Mauret (Groupe EBRA)
Vendredi 09 juillet 2021
Sur la vaccination obligatoire :
"On doit préparer la rentrée. Il faut prendre des décisions maintenant. Je suis favorable qu'on puisse avancer sur les questions de la vaccination obligatoire pour les soignants, de rendre les tests PCR payants, d'étendre l'usage du Pass vaccinal."
Sur la vaccination obligatoire pour les soignants :
"Ce qui serait difficilement compréhensible, c'est que les personnes qui se sont tant engagées depuis le début de la crise sanitaire, puissent répandre le virus. Je suis favorable à la vaccination obligatoire du personnel soignant."
Sur le pass sanitaire :
"Il ne faut pas se tromper de combat. Je suis favorable qu'on ait un usage étendu du Pass sanitaire. La vraie liberté est celle d'aller au restaurant, au cinéma, de voir ses amis."
Sur de potentielles restrictions sanitaires limitées aux personnes non-vaccinées :
"On doit donner la possibilité à tout le monde de continuer à se faire tester soit à se faire vacciner. Le passage en tests payants, des tests de confort aura un effet sur les comportements suffisamment fort pour se dire 'oui cela vaut le coup'."
Sur la réforme des retraites :
"Je suis dans le camp de l'intérêt général. Notre pays a besoin de réformes. Le statu quo n'est pas une option. Il faut continuer à avancer. Je suis pour profiter de réformer dans cette fin de quinquennat."
Sur la réforme constitutionnelle sur le Climat :
"Le Président a voulu être fidèle à l'ambition des citoyens dans la Convention Citoyenne pour le Climat. Le Sénat a décidé de tout détricoter. C'est une rendez-vous manqué avec l'histoire."
Sur la limitation de vitesse à Paris :
"Concernant la limitation de vitesse à Paris, chaque fois c'est la même chose avec la Mairie de Paris : on a un déficit de concertation qui fait que les décisions sont brutales, mal préparées, mal appliquées. La méthode est défaillante, pas le fond."
Sur le vote pour le bureau exécutif de La République En Marche :
"Nous avons besoin d'avoir des instances fortes au sein d'En Marche. Je me réjouis que les principaux dirigeants de notre majorité aient fait le choix de faire ensemble pour donner du poids à nos instances et que les régions soient représentées."
Sur les critiques de François Patriat sur le parti La République En Marche :
"On aurait tous aimé faire des réunions au bistrot. Il y a une force militante En Marche. Je n'ai pas adhéré aux propos de François Patriat."
Sur la date d'élection du délégué général de La République En Marche :
"L'intérêt collectif, c'est de faire les élections du Délégué général En Marche au lendemain de l'élection présidentielle. Nous avons besoin de faire bloc et d'être disciplinés. Je ne me pose pas la question de remettre au cause mon mandat."
"C'est mon souhait aujourd'hui de rester à la tête du mouvement En Marche."
Contact Presse

Service Communication | Public Sénat
Assistante chargée de communication
Voir les informations de contact