Éric Woerth l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" - mercredi 13 avril 2022

Sur l'extrême droite :

"Tout le monde a une responsabilité. C’est la société elle-même qui produit ça : elle est assez brutale, assez complexe. Le chômage de masse est en train de se résorber, cela tend les choses."

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Sur l'aspect social du quinquennat d'Emmanuel Macron : 

"On a une vision sociale très forte en France, on est un pays qui redistribue énormément, jamais suffisamment. La meilleure manière d'aider nos compatriotes c'est que chacun puisse trouver un travail."

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Sur Marine Le Pen : 

"Marine Le Pen a juste géré des partis dont elle a hérité. Sa politique est une politique d'appauvrissement de la France. Ensuite elle musèlera la presse et la liberté d'expression, ce n'est pas de la diabolisation, c'est là en Hongrie et en Pologne."

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Sur la suggestion qu'Emmanuel Macron recule sur le sujet des retraites : 

"Pas du tout (...) on vit plus longtemps et en bonne santé, contrairement à ce que racontent les polémiques. Mais on ne peut pas avoir de la brutalité, c'est une augmentation très progressive."

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Sur la question d'un référendum sur les retraites :

"Pourquoi pas. Mais le régime par répartition est à 10 milliards de déficit et cela va augmenter. On ne peut pas laisser à nos enfants des dettes qu’ils n’ont pas à payer."

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Sur le soutien de Nicolas Sarkozy à Emmanuel Macron :

"Il vient s’additionner avec des paroles plus à gauche, c’est l’ADN d’Emmanuel Macron. Il aut discuter avec tous ceux qui pensent que le modèle social ne peut pas être un modèle-parapluie."

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Sur Les Républicains :

"Un parti qui n’a ni leader, ni idées ne sert à rien. LR doit s'engager, et pas uniquement par tweets. Le général de gaulle ou Jacques Chirac doivent se retourner dans leurs tombes quand ils voient quelque chose d’aussi ambigu."

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Sur les législatives : 

"Valérie Pécresse disait que notre projet était du copié-collé, donc on peut quand même se retrouver dans un projet de gouvernement." Éric Woerth sera candidat aux législatives sous l'étiquette de la majorité présidentielle, "évidemment"

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