Gabriel Attal l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" - lundi 28 mars 2022

Sur les propos de Joe Biden sur Vladimir Poutine : 

"Je n'ai pas à qualifier les propos du président américain. On ne cherche pas une forme d'escalade, mais une sortie du conflit. Cela veut dire mettre la pression sur la Russie et soutenir les Ukrainiens."

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Sur Marioupol : 

"On a préparé, avec la Turquie, avec la Grèce, une opération humanitaire pour évacuer des civils. Maintenant il faut convaincre Vladimir Poutine" 

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Sur les sanctions envers la Russie : 

"On n’a pas demandé aux entreprises étrangères de quitter la Russie, mais on leur a demandé de ne pas s’engager dans de nouveaux investissements. Le but est de renchérir le coût de la guerre, et les sanctions produisent des effets."

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Sur un risque de pénurie de blé : 

"Nous allons mettre en place, sur le modèle de Covax, un mécanisme de solidarité pour fournir du blé aux pays moins autonomes. Dans le plan de résilience, il y a 400 millions d'euros pour compenser les hausses des prix pour nos agriculteurs."

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Sur la baisse de 18 centimes du prix du carburant : 

"Ce sera bien appliqué partout le 1er avril (...) Cela doit nous permettre de tenir le temps de mettre en place un dispositif ciblé vers les Français qui roulent beaucoup et qui gagnent peu."

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Sur l'assouplissement des mesures sanitaires :

"Les restrictions étaient nécessaires pour l’hôpital, mais la situation s’est beaucoup détendue ces derniers mois. C'était légitime d’assouplir les mesures, restons vigilants, notamment quand on est fragile."

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Sur la Corse : 

"Hier, des tensions très fortes ont cessé vers 23h, avec 7 blessés légers. Notre souhait c’est que le calme revienne pour qu’on puisse échanger et avancer sur tous les sujets qui préoccupent et intéressent les Corses."

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Sur les cabinets de conseil :

"On était dans un contexte de crise où vous aviez besoin de mobiliser toutes les forces, l’important est de revenir à un rythme de croisière. Je ne fais pas partie de ceux qui pensent que l’Etat est omniscient et omnipotent"

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Sur la réforme des retraites : 

"Emmanuel Macron veut lancer assez vite des discussions avec les partenaires sociaux. Ce que l'on souhaite c'est que cette réforme puisse être faite, et pour cela il faut pouvoir discuter sereinement."

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Sur le programme d'Emmanuel Macron :

"On souhaite que les collectivités participent aux grands chantiers ouverts par le candidat Emmanuel Macron. On demandera à l’Etat, aux collectivités et à la Sécu que l’augmentation des dépenses soit modérée."

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Sur Eric Zemmour laissant crier ses électeurs "Macron, assassin" lors de son meeting : 

"Soit Eric Zemmour n’a pas d’autorité sur ses militants, soit il cautionne ce type de propos, dans les deux cas c’est inquiétant sur sa capacité à exercer la fonction de Président de la République."

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