Patrick Kanner l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" - mardi 22 mars 2022

22 mars 2022

Patrick Kanner, sénateur du Nord, Président du groupe Socialiste au Sénat, directeur adjoint de la campagne d’Anne Hidalgo  l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !"

Propos recueillis par Oriane Mancini et Stéphane Vernay (Ouest France)

Mardi 22 mars 2022

Sur la mort d’Yvan Colonna :

"Il faut garder le respect pour Yvan Colonna, qui payait sa dette à la nation, et qui a été assassiné dans un lieu qui devait être sous l’autorité publique. (...) Le silence de Eric Dupond-Moretti devient assourdissant"

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Sur la potentielle indépendance de la Corse : 

"Je regrette que l’on parle déjà d’autonomie avant même de faire le bilan de l’évolution statutaire de la Corse (...) Là, on y va très fort et très vite"

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Sur le message du président de l'Ukraine, Volodymyr Zelensky, devant le Parlement français :

"Cet homme est menacé de mort. Ses interventions nous interpellent, nous mettent parfois dans une forme de mauvaise conscience vis-à-vis du peuple ukrainien"

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Sur Vladimir Poutine : 

"Poutine devra rendre des comptes. On annonce 10 000 morts russes dans les journaux officiels. C’est une chose terrible parce qu’il saigne le peuple ukrainien, mais il saigne aussi sont propre peuple. C’est un dictateur sanguinaire"

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Sur le plan de résilience :

"Il s’adresse toujours aux mêmes, les efforts ne sont pas assez répartis (...) À aucun moment la question fondamentale de la solidarité, à travers un effort demandé aux plus aisés, ne vient sur la table"

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Sur la prime Macron : 

"La prime Macron est l’instauration du travail au noir dans notre pays (...) Quand vous recevez de l’argent qui n’est pas fiscalisé, qui n’est pas socialisé, qui n’est pas chargé au niveau de l’employeur, c’est du black !"

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Sur un second tour qui oposerait potentiellement Marine Le Pen et Emannuel Macron : 

"Ma main n’a jamais tremblé, ni en 2002, ni au moment des régionales avec Xavier Bertrand face à Marine Le Pen. Il est clair que j’appellerais à voter pour Emmanuel Macron"

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Sur la présidentielle :

"Si je vous disais qu’en 3 semaines, nous allons redresser la barre, ça voudrait dire que les sondeurs ont mal fait leur travail (...) Cette barre symbolique des 5%, on va essayer d’y tendre"

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