Philippe Poutou l'a dit dans "Bonjour Chez Vous !" - lundi 4 avril 2022

Sur l'Ukraine :

"On compte plus sur la mobilisation populaire que sur les autres impérialismes pour lutter contre cette guerre pourrie. La lutte contre Poutine c'est la lutte contre ce monde hyper-militarisé, contre l'impérialisme et le capitalisme."

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Sur la présidentielle :

"Les institutions ne sont pas démocratiques, on sait que les élections ne changent rien. Ce qui permet de faire progresser la société, ce sont les mouvements populaires. On veut faire entendre ces idées que l'on n'entend jamais."

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Sur le programme de Philippe Poutou :

"Les petits commerçants et artisans sont aussi victimes des logiques du capitalsme. La société doit pouvoir garantir 1800 euros de revenus, avant d'assurer les profits, par une Sécu généralisée, pour par une socialisation du système bancaire."

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"Il y a des secteurs vitaux de l'économie qu'il faut socialiser immédiatement, sous le contrôle direct de la population. Ce n'est pas une étatisation. On socialise les profits qui renforcent des secteurs vitaux, au lieu d'enrichir une poignée."

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Sur la sortie du nucléaire :

"Le plus vite possible, c'est un choix politique. Les Etats ne sont pas capables de sortir des logiques capitalistes et disent que ce n'est pas possible, mais avec un service public de l'énergie ça se passerait différemment."

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Sur la Corse : 

"Le gouvernement a baladé les Corses pendant très longtemps. C'est parce qu'il y a maintenant ces violences que le dialogue est possible. La violence est légitimie à partir du moment où il y a une oppression, quand ça pète, c'est sain."

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Sur "Nos vies valent plus que tous les profits", propos prononcés par Emmanuel Macron lors de son meeting : 

"On s'est transformés en cabinet de conseil. Mais c'est surtout le cynisme de ces gens-là, qui ont toujours joué le jeu du capitalisme et qui reprennent des slogans du NPA."

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Sur l'extrême droite :

"Le RN arrive à détourner la colère du mouvement social derrière des candidatures du camp des riches. L'extrême droite, elle se combat dans la rue, parce qu'après l'élection, on va se retrouver avec la même merde."

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